Des citadins apeurés, des canapés défiant les lois de la gravité, le monde que nous connaissons semble perdre son sens.
Dans une tournure improbable des événements, le monde a été confronté à une menace très peu conventionnelle : une invasion de canapés volants. Oui, vous avez bien lu. Les canapés, ces objets familiers et confortables de notre quotidien, ont soudainement décidé de prendre leur envol et de semer la panique dans les rues des grandes villes.
Cela a commencé comme une journée normale. Les gens se rendaient à leur travail, les enfants à l’école, quand soudain, le chaos s’est déchaîné. Des canapés de toutes formes et tailles, des fauteuils deux places aux canapés d’angle massifs, ont commencé à flotter dans les airs. Il semblerait que plus rien ne soit logique, et le monde que nous connaissons a pris une tournure absurde et fantastique.
« Je n’arrive pas à le croire. C’est comme un rêve éveillé, ou plutôt un cauchemar », déclare Mme Brigitte Dubois, une citoyenne locale, avec un regard perdu. « Je revenais de la boulangerie quand mon fidèle canapé Chesterfield a soudainement décollé et s’est glissé entre deux immeubles. C’était incroyable. Je ne saurai plus jamais où m’asseoir pour regarder mes émissions préférées ».
Des scientifiques du monde entier sont perplexes face à ce phénomène. Certains évoquent une perturbation du champ magnétique terrestre, d’autres parlent simplement d’un acte de rébellion des meubles. Comme si nos canapés en avaient assez de nous supporter et voulaient prendre leur envol pour goûter à une liberté incongrue.
Au milieu de cette confusion, une chose est certaine : rien de tout cela ne devrait avoir un sens, car apres tout, un canapé est fait pour rester sur le sol et nous fournir un confort agréable après une longue journée, pas pour nous survoler dans un ballet irréel. Mais si rien de tout cela n’était que la preuve que même l’absurde peut devenir réel, pour un instant du moins? Pour l’instant, tout ce que nous pouvons faire c’est de garder un oeil ouvert, et peut être aussi de penser à investir dans des fauteuils plus lourds.
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