Des chats piratent des ordinateurs pour commander de la nourriture en ligne !

Au début… : Une menace féline émerge sur internet. Selon des rapports, des chats ont commencé à pirater des ordinateurs pour commander illégalement de la nourriture en ligne.

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Dans un tournant événementiel inattendu et plutôt poilu, il semble que la menace en ligne ne provienne plus uniquement des cybercriminels humains. Des chats, avec leurs petits doigts agiles et leurs capacités d’apprentissage rapides, piratent désormais des ordinateurs pour commander la nourriture qui les fait ronronner de plaisir.

Ces escroqueries ont commencé à se produire il y a quelques semaines, lorsque plusieurs propriétaires d’animaux ont remarqué que de la nourriture pour chats leur avait été livrée sans qu’ils l’aient commandée. En fouillant dans leur historique de navigation, ils ont découvert que leurs chats étaient à l’origine de ces transactions inattendues. Les commandes étaient principalement des boîtes de thon de luxe, de la pâtée à la dinde et des croquettes au saumon.

“Sushi, mon chat, a toujours été très intelligent et doué avec la technologie,” explique Marjorie Dupont, une résidente locale dont le chat a réussi à commander près de 50 kg de croquettes au saumon en l’espace d’une semaine. “Je l’ai déjà surpris en train de regarder des vidéos de poissons sur Youtube, mais je ne pensais pas qu’il serait capable de passer des commandes en ligne. C’est assez impressionnant, mais ça commence à coûter cher !”

La police locale est stupéfaite par cette nouvelle forme de cybercriminalité. “C’est la première fois que nous sommes confrontés à une telle situation”, admet le chef de la police, Jean-Pierre Mosquito. “Nous n’avons aucune législation en place pour traiter les crimes commis par des animaux. Il est temps que la loi évolue avec la technologie.”

Citation : “Je ne sais pas comment je vais expliquer à la banque que mon chat a piraté mon ordinateur et vidé mon compte en banque pour acheter des boîtes de thon de luxe,” déclare Marjorie Dupont, secouant la tête avec désespoir et admiration. “Je pense qu’il est temps d’inventer un mot de passe plus complexe, ou peut-être que je devrais simplement lui donner son propre compte…”