Le Labyrinthe des Bureaux : Les Employés du Ministère des Ombres Piégés dans une Spirale Inextricable

Au cœur de la machine bureaucratique, une nouvelle absurdité a retenu l’attention. Quand même votre lieu de travail semble ne pas vouloir collaborer…

Les employés du Ministère des Ombres, une division obscure de l’administration gouvernementale, ont signalé un étrange phénomène ce matin. Ils se sont retrouvés pris dans une boucle temporelle de paperasse, où chaque document rempli en génère deux nouveaux. Un enfer pour ceux dont la mission est d’alléger la charge de travail administrative.

« J’ai rempli le même formulaire trois fois, et à chaque fois, je suis revenu à mon bureau pour en trouver deux autres qui attendaient, » raconte le dénommé Gregor S., un employé de longue date du Ministère. « C’est comme un cauchemar kafkaïen qui a pris vie. Ou comme si les formulaires se reproduisaient. »

On rapporte que même la machine à café semble être entrée dans ce cycle absurde, déversant un flot ininterrompu de café réchauffé à chaque tentative de faire un nouvel expresso. Des piles de dossiers et formulaires s’empilent dans les couloirs, formant des montagnes de papier qui menacent à tout moment d’engloutir les employés.

« Même les stylos semblent se multiplier. Hier, j’en ai lancé un dans la poubelle, et ce matin, il y en avait deux dans mon tiroir, » témoigne une autre employée, Milena V.

La situation a atteint un niveau tel que le Ministère des Ombres a dû convoquer d’urgence le Comité pour la Simplification de la Paperasse, dont le président, Harold P., a déclaré : « Nous avons toujours su que notre système administratif pouvait être compliqué, mais nous n’avions jamais imaginé qu’il pourrait se rebeller de cette façon. Nous devons nous mobiliser pour résoudre ce problème avant d’être tous ensevelis sous une avalanche de paperasse. »

Des plaintes ont été déposées auprès du Ministère de la Simplification de la Bureaucratie, mais malheureusement le seul membre du personnel disponible pour les traiter a été vu pour la dernière fois escaladant une montagne de formulaires inutiles avec une lampe de poche et un lot de stylos.