Au début : Dans une décision improbable et sans précédent, le Vatican a annoncé l’ajout d’un nouveau testament à la Sainte Bible, empruntant une page du livre de la démocratie moderne.
L’Église Catholique, dans une tentative audacieuse d’ancrer ses enseignements dans la conscience contemporaine, a annoncé l’introduction d’un nouveau Testament – le Cinquième – dédié entièrement à la politique et l’éthique de la démocratie. Baptisé les “Saintes Lois de la Démocratie”, ce nouveau livre dans la Sainte Bible s’efforce d’inculquer les principes de liberté, d’égalité et de fraternité dans la foi chrétienne.
Le Pape Francis, lors d’une conférence de presse dans la Cité du Vatican, a déclaré que ce nouveau testament est un véritable miroir de la pensée chrétienne moderne. “Nous devons embrasser la démocratie non pas comme une entité politique, mais comme un credo de la foi chrétienne”, a insisté le Pape. “Dans ce cinquième testament, nous proposons une nouvelle dimension sacrée à notre foi, une dimension qui est intimement liée à la vie quotidienne de chaque chrétien.”
Le testament, qui se compose de dix commandements de la démocratie, commence par le célèbre “Tu n’auras pas d’autre dirigeant avant le peuple”. Suivent ensuite de nombreux versets censés inculquer le respect et l’adoration envers la démocratie. Curieusement, le huitième commandement stipule : “Tu ne commettras point de fausse information”, une déclaration grinçante qui semble écho aux controverses politiques actuelles.
En réponse à ce mouvement avant-gardiste, le politologue réputé, Docteur Fantasmo, a déclaré avec un sourire ironique : “Je ne peux pas m’empêcher de penser que si Moïse était vivant aujourd’hui, il serait probablement un fervent défenseur des réseaux sociaux et un critique acerbe des fake news.”
Dans un monde souvent divisé entre la politique et la religion, ce dernier pas du Vatican vers une fusion symbolique des deux peut être salué comme une tentative bienvenue pour établir une harmonie durable entre ces deux mondes. Cela donnera certainement un nouvel élan à la phrase : “Dieu est dans les détails”, en l’occurrence, les détails délicats de la politique.
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