Les lois de la physique et du temps se sont déconfinées, libérant une myriade d’horloges molles qui bouleversent notre perception chronologique.
En une occurrence fantastique qui défit la logique, les horloges du monde entier se sont soudainement transformées en objets mous et flexibles, défiant la perception partagée de la linéarité du temps. Ces horloges molles, rappelant fortement la célèbre œuvre de Salvador Dali, “La Persistance de la mémoire”, sont désormais la norme et ont créé un phénomène mondial de décalage temporel.
Pour la plupart des gens, cette transformation synchronisée du temps a engendré une certaine confusion. Les horloges, autrefois objets de précision et de rigueur, sont maintenant des entités changeantes et fluides. De nombreux témoins rapportent que leur perception du temps s’est déformée, avec des journées qui semblent durer des semaines ou des minutes qui s’étirent en heures.
“J’étais en plein rendez-vous d’affaires quand mon élégante horloge de bureau s’est transformée en une masse de métal mou qui pendait sur le bord de mon bureau”, raconte M. Lucid Dreamer, un directeur général de grande entreprise. “Et puis, subitement, le temps s’est déformé. Mon meeting de 30 minutes a semblé durer une éternité, et je peux maintenant littéralement voir le temps filer entre mes doigts.”
Quant à savoir pourquoi et comment ce phénomène se produit, les experts sont perplexes. Certains théorisent qu’il peut s’agir d’une anomaly dans le tissu même de notre réalité, tandis que d’autres suggèrent que notre perception collective du temps pourrait être influencée par des forces inconnues. La seule chose certaine est que le temps, tel que nous le connaissions, a changé.
Le célèbre physicien imaginaire, Dr. Abstractnotion, s’est exprimé sur le sujet : “Nous avons longtemps traité le temps comme une constante, quelque chose d’immuable et de défini. Mais cette transformation somptueusement surréaliste montre que notre conception du temps est peut-être plus malléable que nous ne l’avons jamais imaginé. Ou bien, peut-être que la réalité elle-même nous joue une farce d’une absurdité si sublime que même Dali aurait bronzé de jalousie.”
Be First to Comment