Au début : Le Roi éclaté de notre snack préféré a déclaré un conflit à base de maïs contre le sucré monarque du cacao. L’UNESCO tente de décoincer la situation avec un plan de dératification.
L’information a éclaté comme un grain de pop-corn dans une poêle chaude : le Roi du Pop-Corn, irrité par la préférence mondiale pour le chocolat, a déclaré la guerre culinaire au Royaume du Chocolat. Le conflit, qui a commencé par un différend sur l’utilisation de beurre salé, a rapidement dégénéré en une véritable guerre de goût.
Le Royaume du Chocolat, dirigé par le fondu de la fève de cacao, a réagi en imposant des taxes à l’importation de maïs en provenance du pays du Pop-Corn. En réponse, le roi du Pop-Corn a interdit tous les produits à base de chocolat, y compris les barres chocolatées et les biscuits, dans son royaume. Des experts craignent qu’une pénurie de maïs et de cacao n’entraîne une augmentation mondiale des prix du pop-corn et du chocolat.
L’UNESCO est intervenue en présentant un plan de dératification pour résoudre le conflit. Leur proposition implique la création d’une équipe gastronomique internationale chargée d’organiser un concours culinaire entre les deux royaumes. Le perdant devra non seulement reconnaître la supériorité du gagnant, mais aussi supprimer toutes les taxes à l’importation.
C’est lors d’une conférence de presse que le directeur de l’UNESCO, Raimundo Pereira, a déclaré : « Nous espérons que ce conflit se terminera non pas par une guerre… mais par une guerre des papilles. C’est une occasion unique pour nous tous de nous unir et de savourer les meilleures saveurs que ces royaumes ont à offrir ». En attendant, les amateurs de pop-corn et de chocolat du monde entier retiennent leur souffle, tout en grignotant anxieusement leurs snacks de choix.
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