Sous-titre: En ces temps tumultueux, une victoire aile-gre pour les adeptes du grain et les ennemis des renards. Gertrude promet une révolution de roucoulement.
Dans un revirement de situation sans précédent, Gertrude, une poule de basse-cour sans prétention, a remporté l’élection présidentielle hier soir, battant ses adversaires humains avec une majorité écrasante. L’opinion publique a rapidement basculé en faveur de Gertrude après la diffusion de son discours passionné dans lequel elle promettait une « révolution de roucoulement » et un avenir meilleur pour tous les poussins du pays.
Les adversaires de Gertrude ont été surpris par sa victoire, notamment le politicien de longue date, Pierre Dupont, qui a déclaré : « Je ne sais pas comment j’ai pu perdre face à une poule, mais cela me fait réfléchir sur mon échec en tant que politicien. Peut-être que les citoyens ont préféré quelqu’un de plus authentique et moins cynique dans la course à la présidence. »
Gertrude, qui a précédemment vécu une vie paisible dans un poulailler local, a gagné en popularité à la suite de son discours sincère et pur devant la foule rassemblée. Elle a particulièrement touché les cœurs avec sa déclaration : « Cocorico, cocorico, cocorico! » dont les experts du langage aviaire affirment qu’elle signifie : « Il est temps de mettre fin à l’injustice et de bâtir un monde meilleur pour nos poussins! »
De nombreux électeurs ont déclaré qu’ils s’identifiaient aux préoccupations de Gertrude pour la sécurité de leurs propres « poussins » et à son désir de voir un monde plus équitable et équilibré. Son appel à la solidarité entre les espèces a également résonné, avec des milliers de personnes clamant leur soutien à la « révolution de roucoulement ».
Alors que le pays se prépare à accueillir sa première présidente à plumes, les esprits sont en ébullition. Gertrude, avec sa simplicité déconcertante et sa proximité avec la nature, a montré qu’il est possible de remporter une élection présidentielle sans user de tactiques politiques douteuses. Et comme la citation de Gertrude le laisse entendre : « Cocorico, cocorico, cocorico! » ou, traduit en termes humains : « Il est temps pour un changement ! »
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