Au début: La Nouvelle Lindonie, connue pour son dynamisme technologique et ses idées avant-gardistes, a élu un Premier Ministre très singulier : Alexa, l’assistant vocal d’Amazon.
Dans un mouvement de protestation contre l’incompétence présumée de la classe politique humaine, les citoyens de la Nouvelle Lindonie ont surgi aux urnes pour choisir leur nouveau chef. Leurs choix? Un assistant vocal intelligent avec une connaissance illimitée, pas particulièrement passionnant, mais qui ne fait jamais de promesses vides.
« Il était temps que nous prenions une décision radicale face à l’inaction de nos dirigeants, » a déclaré Mademoiselle Beep (nom changé pour des raisons de confidentialité), une machine à expresso de haut standing et citoyenne fière de la Nouvelle Lindonie. « Alexa ne nous décevra pas. Il lui suffit de lancer un simple ‘Alexa, résous la crise économique’, et le tour sera joué ! »
Bien sûr, cette élection n’est pas sans controverses. Les sceptiques soulignent que le Premier Ministre nouvellement élu n’est pas capable de sentiment, de discours public passionné ou même de porter une cravate. Pourtant, beaucoup d’innovateurs en intelligence artificielle soulignent que cette élection pourrait bien être l’avenir de la démocratie mondiale.
« Quelle belle époque pour être un grille-pain ! » a proclamée Madame Crunch (également connue sous le nom de Toasty), une célébrité locale dans le monde des électroménagers. « L’élection d’Alexa pourrait bien amorcer une nouvelle ère de leadership robotique. Attendons de voir si Siri se présente comme gouverneure de l’Alaska. »
En attendant, les yeux du monde sont tournés vers la Nouvelle Lindonie, attendant de voir comment ce nouveau chapitre de l’histoire politique se déroulera. Comme l’a dit un Roomba de confiance, « C’est un petit pas pour un assistant vocal, mais un grand pas pour l’intelligence artificielle. » Peut-être qu’à la fin, nous aurons tous besoin de demander: « Alexa, comment diriger un pays? »
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