Comme une réalité tirée d’une œuvre de Kafka, une série d’événements incroyablement déconcertants trouble notre quotidien administratif.
Dans une aberration administrative qui rappelle les paradoxes de l’auteur tchèque, Franz Kafka, un citoyen ordinaire a été entrainé dans une spirale sans fin de paperasse, de procédures bureaucratiques incompréhensibles, et d’interminables séances d’attente.
M. Jean Dupont, un résident local, a simplement tenté d’obtenir une nouvelle carte d’identité après avoir égaré l’ancienne. Pas une tâche particulièrement ardue, diriez-vous, mais les événements qui ont suivi ressemblaient à une narration tirée tout droit de “Le Procès” de Kafka.
La première tentative de M. Dupont s’est soldée par un échec quand il a été informé qu’il ne pouvait pas demander une nouvelle carte sans la présence de l’ancienne. Puis, lors de la deuxième tentative, il a été informé qu’il pouvait en fait demander une nouvelle carte, mais seulement avec un document officiel attestant de la perte de la première. Confusion totale lorsqu’on lui a dit lors de sa troisième visite que le document requis était obsolète et qu’il avait besoin d’un autre document, qui s’est révélé, lors de sa quatrième visite, être le premier document qu’on lui avait demandé.
“Je me sens comme le personnage de Kafka, Joseph K, pris dans une intrigue où la logique est bafouée et où chaque effort pour résoudre le problème ne fait que le compliquer davantage”, a déclaré M. Dupont, visiblement frustré. “Je ne savais pas que perdre une carte d’identité pourrait me faire perdre mon identité dans le fonctionnement de l’administration.”
Les incohérences kafkaïennes de cette histoire mettent en lumière les dysfonctionnements de notre système administratif… où une tâche simple peut se transformer en épreuve absurde. Il est temps de simplifier ce labyrinthe paperassier et de redonner un sens à notre administration.
Be First to Comment