La Joconde Fugue de son Cadre au Louvre – Élucide des Mystères Millénaires

Notre nation se réveille ce matin avec des nouvelles qui font vaciller notre réalité : La Joconde a quitté son cadre au Louvre pour prendre un café.

Le musée du Louvre a été le théâtre d’un événement aussi inattendu que révolutionnaire dans les petites heures du matin. Alors que les gardiens de nuit tirant la tronche patrouillaient les allées silencieuses du vénérable établissement, ils ont été témoins d’un événement qui a laissé le monde de l’art pantois : la Joconde, le chef-d’œuvre de Léonard de Vinci, avait tout simplement disparu de son cadre.

« Pendant une seconde », raconte Bernard Frou, le gardien de nuit principal, « j’ai pensé que c’était un autre cambriolage malheureux. Mais puis j’ai entendu un bruit derrière moi, un bruit de tasse à café qui claque sur une table. Et là, elle était, juste à la table d’à côté, en train de siroter un double espresso ». Oui, vous avez bien lu. Il semble que la Joconde ait quitté son cadre, et ait décidé de creuser le mystère de la boisson préférée des Parisiens.

Selon les gardiens, la figure emblématique de la Renaissance, a passé un bon moment à siroter son café, semblant apprécier le moment de solitude dans le grand musée vide. « Je ne sais pas comment expliquer », continue Bernard, « mais elle semblait…relaxée. Comme si le poids de cinq siècles avait été soudainement soulevé de ses épaules. Elle m’a même demandé où se trouvait la machine à café ».

Si certains pourraient être tentés de remettre en cause la véracité de cet événement, les images de vidéosurveillance semblent corroborer la version des faits partagée par les gardiens de nuit. Les images montrent clairement la Joconde sirotant son café, ses yeux pétillants d’un plaisir simple mais profondément humain.

L’événement se termine par une citation de la Joconde elle-même, qui aurait murmuré à Bernard en quittant, « La vie est trop courte pour boire du mauvais café ». Une phrase qui, sans aucun doute, deviendra bientôt aussi célèbre que le sourire énigmatique de la dame elle-même.