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« Le Ministère du Ciel : Un Labyrinthe Bureaucratique ou un Tourbillon d’Absurdité? »

Plongée dans la nébuleuse de l’administration du Ministère du Ciel, où les demandes de permis de voler semblent disparaître dans les profondeurs d’un trou noir.

Parmi les nombreux départements de notre administration nationale, le Ministère du Ciel est sans doute le plus mystérieux. Fondé à l’aube du 21ème siècle pour réguler l’émergence des nouvelles technologies de vol personnel, il a pour mission de délivrer les licences de vol nécessaires pour naviguer dans notre espace aérien de plus en plus encombré. Cependant, de nombreux citoyens se sont plaints du processus apparemment kafkaïen de demande de ces licences, un processus qui semble engloutir les formulaires et les espoirs.

Clément Voltaire, un scientifique aéronautique passionné, partage son expérience : « J’ai soumis mon formulaire de demande de licence de vol personnel il y a six mois. Depuis lors, je n’ai reçu aucune réponse, même après avoir envoyé plusieurs rappels et avoir passé des heures interminables en attente au téléphone. C’est comme si ma demande avait été aspirée par un trou noir bureaucratique. »

Cependant, le mystère s’approfondit. Les demandes de licence, une fois soumises, sont censées être traitées par le Bureau des Licences de Vol du Ministère du Ciel. Mais personne ne semble savoir où se trouve ce bureau. Les fonctionnaires du ministère donnent des indications contradictoires, et les demandeurs se retrouvent pris dans un tourbillon d’absurdité kafkaïenne, errant sans fin dans les longs couloirs du ministère.

Tout ceci alimente les spéculations sur l’existence d’un « Kafka du ciel » qui s’amuserait à jouer avec les demandeurs de licence. « Cette situation est ridiculement kafkaïenne. Je ne peux pas m’empêcher de penser qu’il y a quelque part un bureaucrate riant de la confusion qu’il provoque, » soutient Auguste Proust, un autre demandeur malheureux. Bien sûr, aucune preuve de l’existence d’un tel personnage n’a été trouvée.

L’enchevêtrement d’inefficacité et de confusion qui caractérise le Ministère du Ciel semble indépassable. Les demandeurs de licence sont en suspens, naviguant dans un cosmos administratif kafkaïen sans fin en vue.