Pigeon de combat : une nouvelle menace pour les grands centres urbains ?!

Le premier pigeon militaire de combat a été signalé hier à Manhattan, portant un petit sac à dos miniature contenant des poignées de spaghetti.

C’est un matin ordinaire qui a viré à l’inhabituel hier pour les habitants de Manhattan lorsqu’ils ont aperçu un pigeon d’apparence ordinaire survolant les rues avec un petit sac à dos accroché à ses pattes. Ce n’est que lorsqu’il a commencé à lâcher des poignées de spaghetti sur les passants que la peur s’est installée.

Les autorités ont rapidement été appelées sur les lieux. “D’abord, nous pensions qu’il s’agissait d’une blague de mauvais goût”, a déclaré le Capitaine Mark Stevenson du NYPD. “Mais lorsque nous avons vu l’ampleur des dégâts causés par les poignées de spaghetti, nous avons réalisé que nous avions affaire à quelque chose de beaucoup plus sérieux.”

Des scientifiques ont été amenés sur place pour examiner le pigeon en question. Ils ont confirmé qu’il s’agissait d’un pigeon de combat militaire entraîné, probablement par une organisation secrète de pigeons rebelles. Le petit sac qu’il portait était rempli de spaghetti, qu’il était apparemment entraîné à lâcher sur les gens. Les conséquences auraient pu être catastrophiques si l’incident avait eu lieu à l’heure de pointe.

“Je n’ai jamais rien vu de tel de ma vie”, a déclaré la Dre Melissa Hendricks, ornithologue et experte en comportement aviaire, “Il est évident que ce pigeon a été entraîné à lâcher des poignées de spaghetti sur les gens. C’est probablement la première fois dans l’histoire que des pigeons sont utilisés comme armes de guerre.”

La Dre Hendricks a également averti que cela pourrait constituer une nouvelle menace pour les grands centres urbains. “Il est à craindre qu’il y ait plus de pigeons comme celui-ci là-bas. Il est temps pour nous tous de garder les yeux ouverts et de signaler tout comportement de pigeon suspect.”

Alors, la prochaine fois que vous verrez un pigeon survoler votre tête, vous devrez peut-être réfléchir à deux fois avant de le laisser passer sans méfiance.