L’administration sombre dans la kafkaïque enexigeant des preuves démesurées et illogiques. Un homme forcé de prouver qu’il n’est pas un perroquet !
Dans une tourmente administrative qui dépasse l’entendement humain, Monsieur Jean-Baptiste Dupont s’est vu contraint de prouver qu’il n’était pas un kakapo, un perroquet nocturne de Nouvelle-Zélande en voie d’extinction.
Monsieur Dupont, facteur de son état, aurait reçu une lettre de l’administration française, l’informant qu’il a été officiellement répertorié comme un « Kakapo » dans leurs archives. Pour rectifier cette erreur kafkaïenne, il lui est demandé de fournir une preuve photographique démontrant qu’il n’est pas un perroquet. Une tâche certes ardue, voire impossible, pour un homme qui n’a jamais revêtu de plumes ni émis un seul cri de perroquet.
“Je pensais que c’était une blague au début,” témoigne Monsieur Dupont, “mais quand ils ont commencé à menacer de suspendre mes prestations sociales si je ne fournissais pas la preuve exigée, j’ai réalisé qu’ils étaient sérieux.” Pour ajouter à l’absurdité de la situation, il lui a également été demandé de fournir un certificat de non-existence en tant que perroquet de la part d’un vétérinaire agréé.
Face à ce dédale administratif, Monsieur Dupont a tenté de joindre le service compétent pour résoudre cette énigme. Cependant, les multiples appels et visites en personne sont restés sans suite, laissant notre facteur dans une impasse. L’écho de Kafka n’a jamais été aussi audible. La citation apocryphe du célèbre auteur, “Il est plus facile de prouver qu’une mouche est un éléphant plutôt que de démêler une erreur administrative” illustre parfaitement la situation.
Au final, Monsieur Dupont, en désespoir de cause, a choisi de faire appel à un avocat pour l’aider à résoudre ce problème. Cet incident met en évidence l’ampleur kafkaïenne des tracasseries administratives, où la logique semble avoir quitté le navire pour laisser place à l’absurdité.
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