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Les Girafes aux Lunettes de Soleil Inondent les Paradis de Sable Violet

Accroche: Lorsque le crépuscule flamboyant embrasse le monde, les girafes aux lunettes de soleil se lancent dans une entreprise très élégante.

Tandis que les horloges fondantes crachent des arcs-en-ciel et que les paysages sonores de Dali s’infiltrent dans notre réalité, un nouveau phénomène surréaliste est apparu. Des girafes portant des lunettes de soleil ont été observées inondant des paradis de sable violet en utilisant des parapluies de porcelaine.

Inventées par le rêve d’un poisson paranoïaque, ces girafes se muent dans la tranquillité de la nuit, leurs longs cous tordus dans des figures géométriques impossibles, leurs lunettes de soleil scintillantes reflétant les chimères de l’inconscient. Elles sont devenues les nouvelles muses de la bohème, remplissant les théâtres de leur présence efflanquée et laissant derrière elles des traces de résidus stellaires.

“Elles sont comme des rêves qui se sont échappés de la toile de la réalité”, murmure le célèbre peintre de l’irréel, Cosmo Vortex, en contemplant ces créatures. “Elles sont à la fois le reflet des étoiles dans une mare d’encre et le sourire d’une étoile de mer sous un ciel à carreaux.”

Le sable violet de ces paradis, censément issu de la transpiration des nuages de coton bonbon, se transforme en minuscules diamants sous l’insistance des girafes. Les parapluies de porcelaine qu’elles font tourner comme des moulins à vent sont les seuls à résister à l’érosion du temps et à l’extravagance du spectacle.

La nature du monde est un tableau qui se peint de lui-même, chaque créature ajoutant sa propre touche d’absurdité à l’œuvre d’art globale. Et le studio de cette télé-réalité onirique? Nulle part ailleurs que dans le coin le plus reculé de l’œil d’un papillon endormi. Car l’irréel, comme l’a si bien souligné Vortex, est simplement “la réalité qui a choisi de rire de son propre reflet”.

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