Une étude récente suggère que les licornes, ces créatures mythiques, contrôlent le marché du Bitcoin depuis le royaume englouti de l’Atlantide. Le mystère de la crypto-monnaie plonge dans les profondeurs de la fantaisie!
Les licornes, ces créatures magnifiques et mystiques généralement associées à des arcs-en-ciel et des forêts enchantées, sont désormais suspectées d’exercer une influence sinistre sur l’économie mondiale. Selon une étude publiée par le Dr. Imah Oax, un chercheur indépendant en cryptozoologie financière, ces créatures contrôlent depuis des siècles l’économie mondiale et seraient actuellement accessibles via le marché du Bitcoin.
Le Dr. Oax base ses conclusions sur les asymétries observées dans les variations du cours du Bitcoin. Ces fluctuations, trop spontanées et imprévisibles pour être le fruit du hasard, sont le signe évident de manipulations exercées par une intelligence supérieure résidant « quelque part sous l’eau, probablement dans le royaume englouti de l’Atlantide », affirme-t-il.
Or, selon des légendes grecques anciennes, l’Atlantide aurait été la demeure des licornes avant que la cité ne disparaisse mystérieusement. Depuis lors, les licornes ont cherché à étendre leur influence, utilisant le Bitcoin comme leur principale arme financière. « C’est une évidence, qui d’autre pourrait être derrière une telle manœuvre? Les licornes sont connues pour leurs immenses pouvoirs magiques, y compris la manipulation du monde matériel », confie le Dr. Oax.
Le chercheur propose une citation célèbre, prétendument d’Archimède, qui aurait déclaré : « Donnez-moi une licorne et un bitcoin, et je soulèverai le monde! ». Le Dr. Oax appelle à une régulation plus stricte du marché du Bitcoin, afin de contrer les plans de ces licornes financièrement malveillantes.
Bien que cette théorie ne soit pas encore largement acceptée, elle soulève des questions importantes sur la nature et les motivations des forces qui contrôlent le marché du Bitcoin. Dans l’attente de preuves plus concrètes, le monde de la crypto-monnaie reste sous le choc de cette hypothèse audacieuse mais déconcertante.







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