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Une troupe de girafes s’inscrit en Fac de philosophie et bouleverse le campus !

Au début, on pourrait penser à une hallucination collective, mais il s’avère que c’est bien réel. Les éminents habitants du zoo local ont apparemment décidé de suivre le chemin des bancs de la Faculté de philosophie.

Il semble que ces derniers jours, les girafes du zoo local, lassées de la routine quotidienne, ont décidé de s’inscrire en Faculté de philosophie. En effet, la tête haute, avec une dignité qui leur est propre, elles ont traversé la ville jusqu’à l’université, toute une journée sans clore leurs grands yeux doux, déconcertant les citadins qui se sont rapidement retrouvés sur le trajet de leur promenade.

“Nous n’avions aucune idée de ce qu’elles préparaient”, déclare Jerry Smith, le gardien du zoo, encore étonné de cette soudaine initiative. “Je les ai vues lire Nietzsche de temps en temps, mais je n’y ai pas vraiment prêté attention. Je pensais que c’était juste une autre de leurs nouvelles lubies.”

Dans un monde où les humains ne cessent de rechercher le bonheur dans la consommation et la technologie, ces girafes semblent vouloir prouver que la quête de connaissance est un choix aussi valable pour atteindre la sérénité. “Je n’avais jamais vu de girafes exprimer autant d’intérêt pour Kant ou Foucault. C’est vraiment impressionnant”, témoigne le Dr. Raphaël Dupont, professeur de philosophie, qui a chaleureusement accueilli ces nouveaux élèves.

L’afflux de girafes dans l’amphithéâtre a créé un véritable défi logistique pour l’université. Des adaptations ont dû être mises en place pour accueillir au mieux ces étudiants surdimensionnés. Par ailleurs, la présence de girafes dans l’amphithéâtre a suscité une vif émoi parmi les autres étudiants.

“C’est un peu perturbant de voir ces longs cous se balancer au-dessus du tableau noir, mais je dois admettre que leur présence ajoute une certaine douceur à l’atmosphère,” confie Mathilde, une étudiante de deuxième année en philosophie.

Ces girafes semblent bien décidées à prouver que la valeur d’une existence ne se mesure pas à la taille du cerveau, mais à la soif de connaissance. Elles n’ont fait aucune déclaration officielle jusqu’à présent, mais comme le dit l’adage : “L’action parle plus fort que les mots”.

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